mercredi 23 mai 2012

Un septennat de course à pied

Silian's Hall of Fame
7 ans de course à pied,
7 ans de petits et grands bonheurs,
7 ans de rencontres et de voyages,
7 ans que je coure et ça ne devrait pas s’arrêter.
Flashback sur quelques souvenirs et coups de cœur:

2005, l’année « 0 »
Premier « Semi de Paris », une drôle de sensation à l’arrivée comme si mon histoire avec la CAP ne faisait que commencer (1H49). Merci Laurent !

Premier « Paris Versailles » (1H23’54’’)

« Marseille Cassis » (1H47’26’’) doté d’un tenue 100% PSG, je crée la sensation et je découvre surtout une course superbe. Après la ligne d’arrivée, bain de mer pour les coureurs et farniente, quel pied !

2006, l’année des forfaits!
Ne coure pas qui veut… Le premier forfait est physique (tendinite avant le Semi de Paris), l’autre est technique (l’organisation du Paris Versailles annule exceptionnellement l’édition 2006 en raison de difficultés financières).

2007, on s’y remet.
Semi de paris (1H52)
Paris Versailles (1H23’30’’je gagne 24’’…)

2008, une année charnière.
20 kms de Paris
Semi  de Paris (1H45 I’m back !)
20 kms de Paris (1H49) Légèrement blessé je m’aligne aux 20 kms. Je donnerai tout sur les deux derniers kms car je comprends que la douleur ne va pas revenir. Cette course a tout déclenché car je réalise alors mon vrai potentiel et je me mets à rêver plus haut, plus grand…

2009, l’année de tous les records et celle bien sûr de mon premier Marathon
Semi de Paris (1H39’50’’ pile sous 1H40…ça c’est bien géré !)
Marathon de Paris : 3H45 Fier et heureux, je m’offre un très cadeau à 3 mois de mes 40 ans ! Le virus me prend totalement, il me faut vite regouter à cette alchimie délicieuse. New York, New York ? Pourquoi pas ?

Paris Versailles, l’effet marathon va payer, je vais tout casser, je suis devenu une « machine ». (1H15’53’’ le perfect run).
20 kms de Paris  (1H30’23’’, troisième record à tomber).

En jaune, pour Les Dunes!

Et puis 2009 marque aussi mes premières rencontres et courses avec « Dunes d’Espoir » et le début d’une belle histoire en « jaune fluo » pour le bonheur des enfants et des coureurs.

2010, New York, what else ?
Le rêve est à portée de mains et surtout de jambes…toute cette année sera tournée vers le même objectif : Prendre Manhattan ! Ce blog voit le jour.

Nuits Saint Georges
Semi de “Nuits Saint Georges” ou bien “qu’allait-il faire dans cette galère? ». Arrivé bien fatigué après 3 heures de route sous la pluie et sans mon copain Xavier, je me lance sans trop y croire dans une course détrempée et bien vallonnée qui sera riche d’enseignements et très fondatrice. Mon succès à New York s’est peut être joué là.  
« PSG La course 20 kms» (1H45), peu de maillots du PSG mais une vrai belle course d’endurance avec un finish exigeant.


"Alors ces fruits de mer? Bien digérés?"
La "12/14" de Niort, après un diner vin blanc/fruits de mer je coure pendant 2 heures sous un franc soleil et dans la moiteur niortaise. Distance parcourue ? Me souviens plus… mais je me souviens de l’odeur de mon tee-shirt gris : un mélange fruits de mer et vin blanc. 

Trail du Muguet avec les « Dunes », un sacré bel effort dans la forêt meudonnaise et de beaux sourires au bout.
Paris Versailles  avec « les Dunes » et Elie (et ses 80kgs !)…inoubliable !

20 kms de Paris (1H36), ma tête est déjà ailleurs entre Brooklyn et Manhattan…
Start at Verrazano bridge

Marathon de New York (3H27’), l’incroyable, le Giant, le Marathon des Marathons! Ce blog en a déjà pas mal parlé.

2011, un sommet et un record
Arrivée Cross à Planpraz
Cross du Mont Blanc (3H18), l’expérience ultime, my hardest race ever. Mal préparé (petites blessures lors de ma préparation), j’arrive en vallée de Chamonix pour me mesurer sur Trail. Je vais être servi ! Un panorama à couper le souffle et des larmes de bonheur à l’arrivée.
Berlin, en plein dans le "Mur"

Marathon de Berlin (3H26), le record tombe pour une petite minute mais que cette fin fut dure  (28°C ce jour là). Matthew signe son premier chrono Marathon (3H45). Notre « armée » s’étoffe.

2012, l’expérience en plus
A seulement 10 jours de mon objectif annuel, je ne sais même pas si je vais être en mesure de courir…Alors je patiente en écoutant une fois de plus mon corps, en me disant que ce serait bien bête de mettre à la poubelle  10 semaines pleines d’entrainements pour rien, que cela serait injuste, bref le discours classique d’un coureur trop gâté…

1 commentaire:

  1. un beau parcours !!
    par contre ta tête à Berlin fait peur o_O

    à bientôt avec les dunes !

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